Damso vient de signer un retour en grande pompe avec BĒYĀH. En une semaine, l’album s’est écoulé à 56 986 équivalents ventes, un score qui lui vaut un disque d’or direct.
C’est le 2ᵉ meilleur démarrage de l’année en France, juste derrière JUL, et aussi le 2ᵉ plus gros lancement de sa carrière, après Lithopédion (61 382 ventes en 2018).
Pour ceux qui en doutaient encore, Damso confirme qu’il est plus qu’un nom dans le rap francophone : il est une institution. Comme il le lâchait déjà dans BXL ZOO :
“J’suis pas dans le top, je suis le top.”
Une performance solide sans featuring tape-à-l’œil
Sans gros buzz marketing ni collaboration avec des têtes d’affiche mainstream, BĒYĀH séduit par sa profondeur, sa sincérité et sa qualité artistique. L’album, salué pour son introspection, son ambiance sombre et ses textes affûtés, parle à une génération en quête de sens et de vérité.
Damso, le patron du rap francophone ?
Entre indépendance artistique, chiffres impressionnants et impact culturel, Damso s’installe encore un peu plus dans le panthéon du rap. Et ce succès vient confirmer que son public est fidèle… et massif.
BĒYĀH est déjà dispo partout. Et s’il s’agit vraiment de son dernier projet comme il l’a laissé entendre… alors c’est une sortie par la grande porte.
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