Dans une récente vidéo publiée sur Snapchat, Didistone, la fille du célèbre chanteur Koffi Olomide, a décidé de briser le silence face aux critiques qu’elle a reçues sur son présumé « langage ghetto ». Avec une voix sensuelle et une touche d’ironie, elle a pris le temps de répondre à ceux qui l’ont pointée du doigt après son apparition dans l’émission CKO.
Les critiques, principalement exprimées par des jeunes filles sur les réseaux sociaux, ont mis en avant ce qu’elles considèrent comme un style de communication inapproprié. Didistone, manifestement consciente du tumulte suscité par son discours, a habilement tourné les choses à la dérision. « Si le ghetto a une voix, je suis fière d’en faire partie », a-t-elle partagé, avec un sourire qui en dit long sur sa détermination à rester authentique en dépit des jugements.
Les échanges autour de cette polémique ne cessent d’enflammer les discussions en ligne, alimentant ainsi le débat sur l’identité et l’appropriation culturelle, particulièrement chez les jeunes. Avec sa réponse ironique, Didistone semble vouloir rappeler à ses détracteurs qu’il est essentiel de célébrer sa culture, même lorsqu’elle ne correspond pas aux normes établies.
Sa réponse a également provoqué un élan de soutien de la part de ses admirateurs, qui saluent sa capacité à tourner les critiques en dérision tout en restant fidèle à elle-même. « C’est vraiment la fille de Koffi Olomide ! », s’exclament certains, admirant la confiance et l’audace de Didistone.
Avec cette prise de parole, elle ne fait pas que répondre à ses détracteurs, mais elle ouvre également la voie à une discussion plus large sur l’authenticité et l’acceptation de soi dans un monde souvent prompt à juger.