À seulement 25 ans, Tiakola vient d’accomplir un exploit monumental en remplissant deux soirs consécutifs l’emblématique Accor Arena (ex-Bercy), rassemblant plus de 40 000 spectateurs au total. Un succès qui marque un tournant dans la carrière du jeune artiste congolais, désormais ancré dans la légende des salles parisiennes.
Jour 1 : Un hommage vibrant à Werrason avec le « Seben » mythique
Dès son entrée spectaculaire, Tiakola a captivé l’audience avec une performance électrisante. Mais le moment phare de la première soirée a été sa reprise du « Seben » légendaire de Werrason, un enchaînement rythmique qui a fait danser Bercy en 2001 lors du concert historique du roi de la forêt .
« Les fans, médusés, ont revécu l’énergie de Werrason, comme si le temps s’était arrêté. »
Une référence d’autant plus symbolique que Werrason lui-même a triomphé dans cette même salle il y a 25 ans, avec 17 000 spectateurs en 2000 .
Jour 2 : Le clin d’œil émouvant à King Kester Emeneya
Pour clore son deuxième show, Tiakola a réservé une surprise poignante : Une veste en jeans arborant le nom « KING KESTER » dans le dos. La diffusion de « But Na Filet », tube intemporel de l’icône congolaise, en sortie de scène.
Un hommage appuyé à King Kester Emeneya, pilier de la rumba congolaise, dont l’influence transcende les générations.
Un avenir prometteur
Avec cette double performance, Tiakola prouve qu’il maîtrise l’art du spectacle et l’héritage musical congolais. Son talent, allié à ce sens aiguisé du symbole, laisse présager une carrière encore plus fulgurante.
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