La 38ᵉ cérémonie des Victoires de la musique s’est déroulée le 10 février dernier à la Seine musicale de Boulogne-Billancourt, en France.
Si à la 37 édition certains journalistes culturels ont dénoncé le manque de diversité des artistes nominés parce qu’ils étaient tous blancs à l’exception de Ayanakamura qui n’a pas été choisie par le jury mais le public, cette année également il y a eu que ninho et tiakola parce que NI avait dénoncé la politique de cet événement lors de l’édition passée.
Si l’interprète de « jefe » a snobé l’événement en laissant aucun message sur la toile sur sa récompense puis son absence remarquée à la soirée de gala, le journaliste panafricaniste Claudy Siar a haussé le ton comme fut le cas du journaliste Rokhaya Diallo lors de la 37è édition de cet Événement qui avait également dénoncé le manque de diversité des artistes nominés.
Pour Claudy, les victoires de la musique témoignent du repli identitaire français. Dans un univers musical métissé,dit-il, seuls les blancs sont récompensés.
« Il y a bien le boss Stromae…métis et belge ( ça rassure) Le seul afro-français est Ninho SDT pour l’album le plus streamé.
Un peu de vérité grâce au public…
Ma dénonciation de ce séparatisme et communautarisme « blanc » témoigne de mon universalisme . La France se refuse à elle-même » a-t-il ajouté.
En conclusion, Claudy Siar soutient que « le racisme larvé gangrène ce pays! On étouffe…
✍️ Pop KIDIMBU