La déception est palpable après l’élimination prématurée de la sélection nationale en quête de qualification pour la Coupe du monde 2026. Alors que le rêve nord-américain s’est évanoui plus tôt que prévu, l’ambiance dans le camp pourrait être au découragement.
Pourtant, loin de toute amertume stérile, des voix s’élèvent pour tracer une voie vers l’avenir. Parmi elles, celle de l’attaquant expérimenté Cédric Bakambu résonne avec une conviction forte, servant de cri de ralliement pour la reconstruction : « On reviendra plus fort, rien n’est fini ».
Pour Bakambu, vétéran ayant connu autant les joies que les désillusions, cette élimination doit servir de catalyseur plutôt que d’épitaphe. Son message est clair : il ne s’agit pas de nier l’échec, mais de l’utiliser comme une leçon fondamentale pour les défis à venir. Cette résilience suppose un travail de fond, une remise en question collective et une intégration accélérée des jeunes talents qui ont montré des étincelles de promesse durant la campagne. Il appelle à une unité indéfectible, des instances dirigeantes jusqu’au dernier joueur, pour bâtir une équipe plus solide, plus déterminée et techniquement aboutie, capable de rivaliser au plus haut niveau.
Au-delà des mots, la déclaration de Bakambu est un engagement. Elle s’adresse à toute une nation de supporters désemparés et leur promet que la flamme n’est pas éteinte. En posant les bases d’un projet à long terme, il transforme l’amertume du présent en motivation pour le futur. Le chemin vers 2026 est peut-être bouché, mais celui menant aux éditions suivantes commence dès aujourd’hui. Le message est lancé : le plus important n’est pas de tomber, mais de se relever, plus fort et plus uni que jamais.
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