Une révolution numérique en marche. C’est une annonce qui fait déjà grand bruit sur le continent : Starlink, le service internet haut débit par satellite de SpaceX (dirigé par Elon Musk), a officiellement reçu le feu vert des autorités congolaises pour opérer en République Démocratique du Congo.
Une étape clé pour combler le fossé numérique dans un pays où l’accès à internet reste limité, surtout dans les zones rurales.
Pourquoi c’est une bonne nouvelle ?
C’est une couverture étendue, grâce à ses satellites en orbite basse, Starlink promet un internet rapide et stable même dans les régions reculées, là où les infrastructures classiques sont absentes.
Sur le plan économique, les entreprises, écoles, hôpitaux et particuliers pourraient bénéficier d’une connexion fiable, essentielle pour l’éducation, la télémédecine ou le commerce en ligne.
Cependant, la concurrence saine : Une alternative aux fournisseurs locaux, avec des tarifs qui pourraient stimuler l’innovation et l’accessibilité.
Sur les réseaux sociaux, nombreux sont ceux à saluer cette avancée.
« Enfin, une solution pour sortir des zones blanches ! », s’enthousiasme un internaute de Lubumbashi qui a réagi au post de publié via nos pages réseaux sociaux.
Un entrepreneur de Kinshasa ajoute : « Cela va révolutionner notre façon de travailler, surtout dans le digital. »
Les défis à relever
Si l’enthousiasme est palpable, des questions subsistent :
Coût d’accès, les équipements Starlink (kit satellite) restent onéreux. Les ménages ordinaires pourront-ils se les offrir ? S’agissant de la régulation, la question se pose : Comment l’État congolais va-t-il encadrer cette nouvelle technologie face aux opérateurs historiques ?
Et maintenant ?
SpaceX n’a pas encore communiqué de date exacte pour le lancement, mais les services devraient démarrer **« très prochainement ».
Reste à voir comment Starlink s’adaptera aux réalités socio-économiques du pays et si ses promesses se concrétiseront.
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