Depuis quelques temps, la figure énigmatique du Bishop Baraka Mugusho agite la sphère virtuelle, suscitant interrogations et inquiétudes quant à son comportement.
Sa récente implication dans une affaire de diffamation en tant que garant du prophète Denis Lessie a jeté une lumière crue sur ses actions et déclarations.
Pour mieux comprendre cette saga ecclésiastique, il convient de revenir sur les événements récents. Le Bishop Baraka Mugusho s’était porté volontaire pour prendre en charge le différend entre le prophète Denis Lessie et le pasteur Marcelo Tunasi, suite à des propos diffamatoires proférés par le premier.
Cette intervention a mis en lumière les tensions au sein de la communauté religieuse et a attisé les flammes d’une controverse déjà bien alimentée.
Les déclarations choc du prophète Denis Lessie, accusant notamment l’évangéliste Roger Baka de conspirer contre l’église, ont soulevé des bouleversements inattendus.
Par ailleurs, les menaces proférées à l’encontre de ses collègues spirituels ont jeté un voile sombre sur l’unité fragile de la communauté religieuse.
Pourtant, l’histoire a pris un tournant inattendu lorsque le prophète Denis Lessie a fait volte-face, exprimant publiquement des regrets et présentant ses excuses au pasteur Marcelo Tunasi.
Ce revirement de situation a semé le doute et a poussé à la réflexion sur la notion de pardon et de rédemption au sein de la foi chrétienne.
Ainsi, cette affaire met en lumière les conflits internes et les enjeux de pouvoir qui traversent parfois les institutions religieuses, tout en rappelant la nécessité de la compassion et du pardon dans un monde marqué par la division.
L’épisode du Bishop Baraka Mugusho restera assurément dans les mémoires comme une leçon d’humilité et de réconciliation, invitant chacun à méditer sur les valeurs fondamentales de l’amour et du respect mutuel.
✍️ C. Niati & P. Kidimbu