Dans une révélation poignante, Christelle Dindologie, ancienne danseuse du chanteur Fabregas le Métis Noir, a partagé une période douloureuse de sa vie marquée par la maladie, les rumeurs et les accusations de sorcellerie.
Une maladie grave… et des soupçons ciblés
Aujourd’hui membre du groupe de Héritier Watanabe, Christelle a confié avoir été atteinte d’une ulcère de Buruli, localement appelée “Mbasu”, au bras droit. Une maladie grave, douloureuse, souvent mal comprise et entourée de croyances mystiques.
“J’avais une ulcère de Buruli, Mbasu, dans mon bras droit, et partout où j’allais, on me citait le nom de mon ex-patron Fabregas le Métis Noir comme l’auteur de ce mauvais sort”, a-t-elle déclaré publiquement.
Superstition ou règlement de compte ?
Dans un milieu artistique où les rivalités et les croyances populaires se mêlent souvent, cette déclaration relance les débats sur les rapports entre artistes, pouvoir, jalousies et accusations occultes.
Sans accuser formellement Fabregas, Christelle met en lumière l’impact psychologique et social des rumeurs, qui peuvent détruire des réputations ou isoler des individus dans des moments de grande vulnérabilité.
Une nouvelle vie avec Héritier Watanabe
Aujourd’hui, la danseuse a rejoint l’équipe de Héritier Watanabe, où elle poursuit sa carrière avec plus de sérénité. Son témoignage, au-delà du choc médiatique, est aussi un appel à la compassion et à la vigilance face à la stigmatisation dans le showbiz congolais.
Entre douleur physique et blessure morale, Christelle Dindologie a choisi de parler. Et son message résonne fort.
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