Les dessous des cartes sur l’affaire Gims et l’Élysée ont été élucidées par Sylvain baricot, spécialiste en politique internationale et diplomatie.
Si le journal « le monde » a pris position en défendant l’Élysée sur cette affaire et en ne livrant qu’une partie de l’information, Eh bien Sylvain Baricot vient d’éventrer le boa.
Tout en donnant des précisions nettes et claires, le français a précisé d’abord que cette situation a mis en évidence la réalité du sentiment anti-français qui gagne de plus en plus de terrain en Afrique et qui risque de peser lourd sur l’avenir des relations entre la France et continent africain.
Largement connu à l’international, aussi ses affinités avec des personnalités politiques, notamment le roi du Maroc, l’émir du Qatar et l’ancienne première dame française Carla Bruni, le profil de gims répondait à une bonne exploitation en Afrique.
Par contre, meugi avait rejeté une fois de plus l’invitation de l’Élysée pour accompagner Emmanuel Macron à Kinshasa et sa tournée africaine.
» Afin de persuader Gims, l’Élysée décide de changer de tactique. Il n’est plus question d’accompagner le président Macron lors de sa tournée africaine. Au lieu de cela, il est question d’un concert à Kinshasa. Au moment de la controverse sur le refus de Gims de souhaiter une bonne année à tous, la secrétaire d’État Marlène schiappa avait rapidement réagi en le qualifiant de « séparatiste » et en insinuant qu’il soutenait Valérie pecresse » a signifié Sylvain Baricot.
À lui d’ajouter :
« L’artiste exige également une somme de 100 000 euros pour sa prestation, son tarif habituel pour un concert. Lorsqu’il réalise que le concert n’est qu’un prétexte pour l’inviter à accompagner le président pendant sa visite, Gims refuse une fois de plus. Le sujet est clos »
À en croire Sylvain, Gims a décliné à trois reprises l’invitation de l’Elysée et ne souhaite plus être impliqué avec les politiques français. Cette invitation a été perçue comme une tentative d’exploitation de sa notoriété.
✍🏼 Pop KIDIMBU