L’addiction aux paris sportifs en République Démocratique du Congo et à Kinshasa en particulier est en plein essor, même les mineurs, soit les enfants de 10 à 15 ans ont accès à ces kiosques des paris qui ont inondé les rues de Kinshasa.
Ces industries qui se prolifèrent dans la capitale, a également une autre manière discrète permettant aux parieurs de bien procéder à miser sans se rendre aux kiosques. Il s’agit notamment des applications pour smartphones permettent de parier en toute discrétion.
À Kinshasa particulièrement , s’observe un mouvement dominé par des adultes âgés de 18 à 45 ans, et des jeunes enfants mineurs âgés de 10 à 17 ans, qui s’adonne à ces différents jeux d’argent.
Cependant, ce jeu de hasard est basé sur les rencontres des matchs de football, basketball, voir même les combats de boxe et MMA.
Au départ, la plus connue des industries dans la ville était pari foot, et vu l’environnement socio-économique mièvre du pays, les installations des autres structures ont inondé Kinshasa et les nombres des parieurs ont également augmenté.
D’une part le taux de chômage exagéré dans le pays, surtout dans la capitale, a favorisé la prolifération des structures de pari sportif. Les jeunes s’en approprient en espérant gagner quelques billets de banque et subvenir tant soit peu aux besoins.
L’on peut également affirmer que c’est la précarité qui pousse souvent les jeunes à s’appliquer avec constance à ces différents jeux d’argent.
D’autre part, c’est la passion du sport qui animent les parieurs « irréguliers » qui s’y mettent qu’à des grands matchs soit des grandes compétitions. Ces genres de parieurs ne représentent qu’un faible pourcentage…
